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Titre : Gatsby le magnifique
Auteur : F. Scott Fitzgerald
Édition : Grand Livre du Mois
Nombre de pages : 266 pages
Parution : Juillet 1996
ISBN : 9782702805604
New York, années folles… Dans sa somptueuse demeure de Long Island, Jay
Gatsby organise de fastueuses réceptions où les invités se pressent en
foule. Mais leur hôte ne cherche à éblouir qu’une seule personne : Daisy
Buchanan. Elle est élégante, riche, séduisante, mais elle est la femme
d’un héritier millionnaire… Avec ce texte devenu un classique,
Fitzgerald, sur un air de jazz et une coupe de champagne à la main, met à
nu le Rêve américain et écrit l’un des plus beaux romans du XXe siècle,
ici présenté dans la traduction de référence, par Jacques Tournier.
On m'a longtemps conseillé ce livre, cependant l'histoire ne m'avait jamais vraiment tenté plus que cela. Mais lorsque je suis tombée sur une (magnifique) édition limitée lors d'une bourse aux livres en mai dernier, j'ai tout de même craqué.
Moi qui aime m'évader à travers mes lectures, j'ai été servie. Je suis rarement tombée sur un livre qui me transporte autant au cœur d'une époque (dans les années 20 ici en l’occurrence). L'auteur décrit magnifiquement bien ces années dorées (ou roaring twenties) dans lesquelles ont vécus les personnages. C'est beau, riche, grand, lumineux. C'est un monde où l'argent coule à flot et où la superficialité prend toute son ampleur.
Malheureusement, bien que le récit soit très bien (d)écrit, je n'ai pas vraiment été transporté par l'histoire. Je n'ai pas du tout accroché aux personnages, j'ai même trouvé certains presque inutiles (comme Jordan Baker, une joueuse de golf professionnelle, faisant pourtant partie des personnages principaux). Je n'ai pas non plus été charmée plus que ça par la vie et les choix de Gatsby. Peut-être parce que nous n'avons pas son point de vue sur l'histoire, ou peut-être qu'il y a trop de non-dits, que la vérité se mélange trop bien aux mensonges. Je ne sais pas, mais je n'ai pas eu de déclic comme avec d'autres romans.
Cela reste malgré tout une lecture agréable, surtout pour l'été. Le style de F. Scott Fitzgerald n'est pas des plus faciles à lire mais il y a une certaine beauté dans ses paroles qui en charmeront plus d'un.
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