Titre : Je ne cours plus
qu'après mes rêves
Auteur : Bruno Combes
Édition : J'ai Lu
Parution : Juin 2020
Résumé de l'éditeur :
Trois femmes, trois solitudes, mais un point commun : elles ne veulent plus renoncer à leurs rêves.
Je m’appelle Louane, j’ai dix-huit ans. Ma vie
est facile, enfin, je l’ai cru ; je ne me suis jamais vraiment posé la
question. Jusqu’au jour où…
Je m’appelle Laurene, j’ai trente-neuf ans. J’ai cherché le bonheur
et, en même temps, je l’ai fui dès qu’il s’approchait. Jusqu’au jour où…
Je m’appelle Louise, j’ai soixante-dix-sept ans. Mon existence m’a
comblée et a été d’une parfaite tranquillité. Jusqu’au jour où…
Nous ne nous connaissions pas. Rien ne laissait prévoir l’aventure
que nous allions partager. Nos vies allaient en être bouleversées…
Mon avis :
Après deux lectures aux sujets difficiles, j'avais envie de quelque chose de plus léger. J'avais envie de m'évader, de voyager. Et ce roman remplissait toutes les cases !
Dans Je ne cours plus qu'après mes rêves, on part en voyage aux côtés de Louane, Laurene et Louise, trois femmes que tout oppose et qui pourtant vont se trouver plus de points communs qu'elles ne l'auraient imaginé. Plus que des points communs, elles vont tisser une vraie amitié à travers ce voyage et ce retour aux sources.
Même si on retrouve quelques clichés du roman feel-good estival, et qu'on devine facilement la fin, j'ai pris plaisir à suivre les trois « L ». Pour combattre les peurs et problèmes auxquels elles doivent faire face, elles vont tout lâcher, se perdre pour mieux se retrouver. Et il faut un sacré lâcher-prise pour oser faire ça ! Celle qui m'a le plus ému est sûrement Louise, que ce soit à travers son combat contre la maladie, sa façon de protéger Louane ou son amour pour le village de son enfance.
Le roman se lit très vite, on tourne les pages sans les voir défiler, et on voyage entre Paris, Bordeaux, Strasbourg et l'Andalousie. Que demander de plus ? Ça me donnerait presque envie de prendre un ticket direction l'Espagne !
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